L’Archange Michaël est celui qui montre à l’homme sa véritable nature, le gardien du divin, de l’image de l’homme voulu par Dieu. Il possède la capacité de délivrer l’homme de l’emprise des forces sombres. il est aussi celui qui éveille le discernement dans l’homme. Par la lumière qu’il place dans celui qui s’approche de lui, il fait naître le feu des questions essentielles. Il éveille le discernement pour que l’homme se rende compte que sa vie, que sa façon de voir le monde est fausse.
"Vous les hommes, vous devez marcher sur le chemin de tout calmer, de tout guérir, de tout apaiser à l’intérieur de vous. Un homme digne, un homme noble, un homme véritable n’est pas dans l’agitation. Il n’est pas dans le bruit, il n’est pas dans la peur, dans le trouble, mais il se tient dans le calme, dans la paix car il a tout guéri à l’intérieur de lui. Sachez que l’agitation et le trouble sont en réalité une maladie et lorsque l’homme est dans la maladie alors c’est tout ton être qui est dans l’agitation, qui est dans le trouble, qui est dans le doute. L’homme doit d’abord tout guérir avant de pouvoir s’approcher du monde divin. Le monde divin est dans le silence, le monde divin est dans la subtilité, le monde divin est dans la finesse, le monde divin est dans la douceur. Aucun bruit ne peut l’atteindre, aucune agitation, aucune maladie, aucun trouble...
Il est vrai, que j'ai faibli.
On oubli qu'il y'a bien plus douloureux que la mort, il y'à la vie elle même
avec son arme la plus redoutable, l'Amour.
J'ai déjà aimé avec passion mais jamais avec autant de déraison.
J'ai tout abandonnée devant le rejet de ma bien aimée
et j'ai voulu a jamais cessé d'être accablée.
Je me souviens avoir bu à outrance, pour oublier ma souffrance et espérer une délivrance.
J'ai défié le destin qu'il me prenne sur le chemin.
Je lui est offert mon corps, trempée mes ailes dans le péché.
Mon âme a nue errante dans les rues titubante, riant aux façons décevante de quitter cette terre brulante.
Je me suis retrouvée anéanti et affaibli. et pourtant, tu n'a pas profité de mon répit.
Tu es sorti de nul part
toi qui vivait sur un trottoir,
tu étais pourtant le reflet de mon miroir.
A ta merci,
tu aurai pu prendre ma vie,
et c'est du moins ce que mon cœur te soufflait.
Au lieu de ça,
tu m'a enveloppé de ta bonté, tu a veillé et m'a protégé.
De tes prières tu m'a béni et cela restera enfoui dans le plumage que tu a soigné
et de tes mains tu m'a redressé.
Toi qui es venu de nul part, qui ne m'a rien demandé, et qui m'a juste annoncé :
je suis ton ange, je suis Michaël, relève toi ma belle....
1. KISSANGEL le 13-04-2012 à 13:33:30 (site)
merci au ptit être ailé qui est venu me récupérer après ça!
Les ailes déployées,
je suis prête à vous affronter.
Je vais vous chasser vous qui hantaient mes protégées.
Cessez!
je vais évaporer ce brouillard envahissant
et réduire au néant tous ces êtres méprisants.
Malin,
tu ne m'as pas vaincu,
et dorénavant me voilà convaincu
d'être à nouveau pourvu
de la protection abondante,
de cette divinité qui sera vous repousser
et vous réduire à jamais au silence!
Maintenant me voilà enragée,
prête à dégainer sans plus aucune pitié,
si je dois être damnée, tel était donc ma destinée....
Je me suis trompée, à force de douter,
mes idées étaient erronées.
Une main s'est posée sur mon épaule
pour me ramener vers le chemin qui était mien.
Une nouvelle voie tracée, d'une lumière si apaisante.
Enivrée, un peu méfiante, j'avance titubante
vers ce néant.
Que se passe-t-il,
je connais cette voix,
cette sensation qui fut la première dans mes souvenirs.
Une lueure traverse mon coeur, pour en retirer toutes douleurs.
Un apaisement, une récompense, tel une offrande.
Tu m'as offert l'amour, reconstruit une vie en chassant mes démons,
afin que plus jamais je ne confonde,
le chemin qui mène du côté sombre
n'est pas refuge d'un ange
qui a passé sa vie a déployer ses ailes
celui là mérite juste sa place au ciel...
J'ai retenue mes larmes lorsque tes mains opréssaient mon coeur,
serrant les dents pour surmonter cette douleur.
Tel une fleur se faisant arracher les pétales,
une poupée voudou que l'on torture avec délices,
je suis rester dans un mutisme contre ces épreuves.
Je me tiens encore debout face à mon reflet,
te lançant d'un regard emflammé :
- et maintenant;
un corps souillé, une âme meurtrie,
je n'ai plus de famille, plus de vie,
que peux-tu encore anéantir?
Je te mets au défi, de faire de moi ton martyr
si tel est plaisir de me voir tant souffrir.
Tu arrives à me faire douter mais jamais me plier...
et maintenant,
je resiste avec fantaisie à tout tes caprices de folies.
J'ai entendu quelqu'un dire
"S'il y a de l'amour, il y a de la paix"
Et on peut être d'accord ou pas
Chaque fois que j'avais mal
Tu me serrais contre toi
Et c'était dans la chaleur de ces bras
Que je me sentais en paix
Moi qui étais cessé te parler
Et je t'ai fermé mon cœur,
Cet amour a été déchiré
Cette fois, je ne laisserai pas
Mon cœur faire ce qu'il veut
Car le pouvoir d'y croire
Libèrera l'amour
Quand tu m'a aidée, en tant qu'ami
J'ai imaginé un futur pour nous deux
Et si j'ai vu du bonheur pour nous
Je n'ai pas vu mes propres problèmes
Même si nous avions dit que nos promesses nous guideraient
Nous avons perdu de vue la direction dans laquelle allait cet amour
Au lieu d'attendre un miracle,
Je veux que tu me serres enfin
Car le pouvoir d'y croire
Me libèrera
Tu n'as pas à avoir peur de cet amour
Tu n'as pas à avoir peur de cet amour, cet amour
Cette fois, je ne laisserai pas
Mon cœur faire ce qu'il veut
Car le pouvoir d'y croire
Libèrera l'amour
Au lieu d'attendre un miracle,
Je veux que tu me serres la fin
Car le pouvoir d'y croire
Me libèrera
Rien ne guéri les souvenirs,
les blessures se referment sur des douleurs
qui continuent de ronger de l'intérieur.
Je fais bonne figure, pour masquer les déchirures.
On s'habitue à l'amertume, un cœur qui ne bat
qu'au son d'une mélodie morbide.
J'ai l'amour de ma vie,
celle qui arrive à me faire sourire
et pourtant je me sens si vide.
Dénuée de joie, de peine même,
je suis vide tel un être dépourvu d'âme.
Mes ailes m'ont-elles étaient retirées,
ou dois-je vivre étouffée
par ce chagrin imprégné à jamais....
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