J'ai retenue mes larmes lorsque tes mains opréssaient mon coeur,
serrant les dents pour surmonter cette douleur.
Tel une fleur se faisant arracher les pétales,
une poupée voudou que l'on torture avec délices,
je suis rester dans un mutisme contre ces épreuves.
Je me tiens encore debout face à mon reflet,
te lançant d'un regard emflammé :
- et maintenant;
un corps souillé, une âme meurtrie,
je n'ai plus de famille, plus de vie,
que peux-tu encore anéantir?
Je te mets au défi, de faire de moi ton martyr
si tel est plaisir de me voir tant souffrir.
Tu arrives à me faire douter mais jamais me plier...
et maintenant,
je resiste avec fantaisie à tout tes caprices de folies.