Ce n'est pas tant ton coeur que je convoite,
il est volage, il est instable.
Ce n'est pas tant ton Amour que je convoite,
il est instable, il est volage.
T'enfermer dans une cage,
c'est un mirage , c'est un outrage.
Ce n'est pas tant ta fidélité que j'envisage,
dans cet ouvrage il manque des pages.
De cet amour en décalage,
cette relation qui vire au carnage
mais qui n'abimera pas mon plumage
ne retiens que cette image...
l'amour que je porte sur mon visage.
Plus jamais peur plus jamais mal,
une utopie pas si banale;
mais dans un rêve ou rien ne fait mal
la vie deviendrai très vite fatal.
S'il faut souffrir pour être en vie, anéanti pour tout reconstruire;
on trouve ça normal et ça en deviens très vite banal...
de cette vie si carcérale....s'échapper n'est pas si paradoxale...
Ne pas attendre de tout détruire, ne pas hésiter à s'enfuir
si ça deviens si vital mais je t'en supplie ne devient pas ma rivale,
ça pourrait bien m'être fatal...
Que tu partes au loin,
que tu suive ton chemin
même s'il te détourne du mien,
c'est belle et bien notre destin.
Tout effacer, tout recommencer,
des scènes sans cesse répétées
qui continues de s'enchainer
sans jamais s'arreter.
De nouveau à mes cotés,
j'essai de préserver
notre Amour essouflé
mais qui ne cesse de perdurer...
1. alicia2010 le 10-04-2010 à 16:30:11 (site)
je decouvre ton blog bien beau
dommage qu'on ne sache pas grand chose sur toi petit angel !!!!
gros bisouxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
2. douceur958 le 10-04-2010 à 17:13:22 (site)
tres joli blog,bienvenue a toi belle fin de journée bisouille
Je me suis regardée dans le miroir pendant si longtemps,
Que j'en suis venue à croire que mon âme était de l'autre coté.
Oh les petits morceaux tombants, en éclats.
Tessons de moi,
Trop tranchant pour être rassemblés.
Trop petit pour avoir de l'importance,
Mais assez grand pour me couper en tant de petits morceaux.
Si j'essaye de la toucher,
Et je saigne,
Je saigne,
Et je respire,
Je ne respire plus.
Je prends une respiration et j'essaye de bien tirer mes spiritualités.
Encore une fois, tu refuses de boire comme un enfant tétu.
Mens-moi,
Convains-moi que j'ai toujours été malade.
Et tout ceci,
Aura un sens quand j'irais mieux
Je connais la différence,
Entre moi-même et mon reflet
Je ne peux m'empecher de me demander
Laquelle de nous tu aimes.
Ainsi je saigne,
Je saigne,
Et je respire,
Je respire maintenant...
Saigne,
Je saigne,
Et je respire,
Je respire,
Je respire-
Je ne respire plus....
Evanescence : breath no more
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